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merdeuh

4 novembre 2009

Lueur.

Tu sais, il m'arrive parfois de me dire que la nuit ne serait plus sans tes mots pour l'adoucir.

C'est tout de même absurde de poser tant d'intérêt en une seule relation qui nous est propre, lorsque d'ailleurs, notre existence n'est que lueur.
     Sans doute auront-nous vécu en vain. Mais mon espoir pour une soirée allongé à rire et oser l'inimaginable, tout ça, c'est ma lueur à moi.

Malgré l'accablement de ces yeux, sous les cicatrices et la douleur de celui qui n'oserait se révéler seul, j'ose croire au but de notre propre convoitise.
    Elle-même révélatrice de notre raison d'être.

Merlot au seuil du lit, nous ne sommes que deux au monde.

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30 novembre 2007

Lumières toutes!

Toujours sans quartier, pendule à l'heure, nos confrères se ruent au front. Sans quelque condescendance, le coude à poing se fait ressentir. De par leur entrailles ensenglantés, la classe ouvrière se remet en rangs. Chaque enjambée se fait ressentir dès que la bourse s'éveille, à chaque couleur un prix. Malgré les malheurs de ce monde, notre bonheur est de mise. Pourquoi s'émerveiller de la tombée des enfants soldats lorsque notre vulgaire arbre éluminé nous contente.

    Absorber épidémies, écatombes et énigmes de conscience se fait lourd sur l'esprit. Toutefois notre centre de l'univers se trouve ici, chez nous, ou nous y sommes bien. Certains choissisent la méga machine embryonnaire, d'autres Montréal. Je n'y vois aucune disparité, que l'on s'y plaise ou non, l'engin tourne. Aux mille lumières, le combat persiste. Ruez vous aux super méga stores puisque les promotions bidules à truc sont imprimés sur votre perront. C'est du harcèlement, mais l'on s'y plait, après tout il fait temps de festivités. Sales porcs, mangez-en des paiements sans intérêt pour un billiard d'années. Faites faillite et perdez votre capital, sans pouvoir d'achat vous ne contribuez plus à la société économique. À la société point. Vous êtes la risée de nôtre système, à quoi bon tenter de remonter, vous êtes à peine citoyen, cessez de vivre de la bonté gouvernementale.

    Nous sommes dirigeants, diplomates, boursiers et contribuables.

10 avril 2006

Les ogres.

La masturbation n'est plustot qu'une mise en demeure envers l'éternel buverie saguinaire qu'est l'envie contre à part les décès encourus. Ces petites bêtes frémissanentes éphémères ne sont guèrent comparables à la vie telle que vécue au jour le jour de par les yeux d'une lueur exotique. La vie telle que l'on la perçoit, n'étant plus ce dont la coquerelle et le pommier furent, mais plutôt ce dont ils aborent, un manque de poétrie quotidienne inexpliquable. Malgré soit les escargots lèchent et resalivent leur idéaux civilisés entre deux sommes au meilleur de l'abstrait.
21 novembre 2005

Il eut un homme qui me dit un jour que tout et

Il eut un homme qui me dit un jour que tout et chacun puise de son passé pour contribuer à l’avenir. Cet homme eut la bienfaisance de m’instruire de la sorte et de faire de moi son protégé. Objectivement, l'enfant que je serai n'eut guère plaisir en la convenance que certains adviennent lors qu'ils observent l'abstrait. Les étapes primordiales à la vie issue d'une lucidité déplorable furent, pour moi, malheureusement funestes. Malgré tout, cela ne fut que ce dont j'ai su désirer. Sans cesse, nos semblables, l'art figuratif tant que les désirs innombrablement fugitifs, nous influencent magistralement. Ceci dit, la fugueste mélancolie qu'est l'enfance absorbe, tout comme l'éponge de mer, certain de nos rêves les plus vilains. En vain, nous sommes esclaves de notre destinée qui, si l'on ose porter jugement à soi-même, ne deviennent rien de plus que nos idéaux inachevés. Le crépuscule se fait orageux, dès lors la crise, cet affront contre soi-même est inévitable. Le présent juxtapose l'avenir dans son intégrité, fondamentalement, les visions de son après ne sont qu'une répétition d'une hésitation de résolution hâtive. Cette passion envers l'absolu laïc, qui ne sait se taire face à la prospérité. Geôlier, protecteur, de notre adultère imminent, parfois sait-il qui seront nous demain.
6 novembre 2005

...

Battre le fer, lui-même rosé d'écumes mortelles. Mais le latin ne se fait plus, du moins chez la populace. La rébellion, la solution, le produit de vos bévues. Libération, mais pour libérer il faut être soumis. Offrir l'opportunité de choisir entre l'offrance aux dieux et la libération. Obervateur dès lors l'outrage qu'est la conception, simpliste se feras, insertion en ce monde. De par la vivacité de nos prouesses, cette servitude est partie prenante de notre être.
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26 septembre 2005

parutions ultérieures.

Orgie. -25 sept. 05 Conformément aux règlementations, l'homme suit l'espoir d'envahissement psychédélique démence bestiale, extase policée Les exeptions se font, se fondent, et cessent fièrement telle une oeuvre figurative la foi dépend du sentiment et non de la raison Juxtaposez les pierres, regardez vers le ciel et tendez une main vers l'âme. le noir et le rouge se feront alors confusion L'un est ivoire l'autre chêne. Éveil fût d'une grande agilité lors que l'on lui appris au dépourvu de ses beoins que le l'aube se fût Absorbtion, ascendant, aspiration, butin, captation, c'est bien connu, exaltation. Nos névroses nous auront, du moins, enseigné un fait; statistiquement, le mal se fait groupie de tout et chacun tandisque la bienfaisance semble, sans hésitaton s'allier au camp des miraculés. Un peu de sincérité. - 24 sept. 05 Seul magistrat de nos envies saugrenues, Dionysos j'implore ton pardon; Sans toi nous ne sommes que des brutes en matière de sagesse, naïfs et hypocrites. Alors sans hésitations nous nous écrions, Trinquons de ce cordial, cette source d'euphorie, ce tonique vivifiant! Suite à ce, les chants se font entendre, tous et chacun la main dans la main murmurent des sénérades aux airs familiers. Puis l'on déambule en direction de la plage, les uns disparaitrons pour se rabattre sur leur sort, d'autres se terrassent pour faire l'amour, la passion se fait sentir puis les assembleurs de nuées furent pousser à exprimer leur intuition et furent tués par les marées. Cette agitation sinistre qui rôde sans cesse à l'affût de bouc émissaire, celle à qui les moins lucides y perderont leur vies. Malgré l'attachement récomfortant que nous offre cette ile, nos âmes ne sont en moins revêtuent d'un bouclier illusoire. Garce. vague à l'ame, mélancolie. Déçu. - 11 juil. 05 Comment dire, il est plutôt rare que je n'en vienne à devoir me poser des questions du style, pourquoi suis-je donc aussi indépendant de l'abstraction sur laquelle tout mes gestent semblent être basés. Quoi que je fasse le nonsens me demande aisément de revenir dans sa direction. Puis comme toujours, grand perdu que je suis, je tombe dans le panneau et deviens accro de cette vision euphorique futile. Mais c'est alors que les décisions ardives, tout comme le besoin d'un but précis ce fnt manquants, à leur place, bien des idées farfelues. Je ne regrette pas grand chose à ce point-çi, par contre je n'ai toujours pas eu la chance de voir bien du monde, mais pour faire cela dois-je constamment abandonner tout ce qui me tient à coeur? Car il semble bien que chaque fois que je désire partir pour l'aventure, le plain air ou tout simplement la quiétude, je suis poussé à briser des coeurs, donner un sang d'encre à quelqu'un. Jamais je ne m'y ferai au sentiment d'abandon, de départ non anticipé, à la tristesse insoutenable toujours présente lors de chaque mouvement digne d'une bohème. Si seulement je n'était pas aussi dépendant de l'abstrait, des réponses, de la découverte de mondes meilleurs. Peut-être que je pourrait alors vivre en paix, sédentaire, en pouvant finalement tenir des promesses.. "sans titre" - 9 aout 05 Le pômé- Alors si je comprends bien mon très cher vous aviez accepté de prendre la charge de ce petit garçon prénommé Jodgjio mais n'avez pas les moyens de subvenir à ces besoins? L'inspecteur- Daccord, je vous em prie monsieur l'inspecteur, ce petit est tout ce dont il me reste, et je vous dis cela sans même considérer le fait qu'il me rapporte quelques piastres à chaque fin de mois. Son altesse- S'en est assez! Blasphème! Vous gardez tout simplement ce chérubin pour toucher une somme minime des fonds publics! Il me parrait évident que le développement personnel de cet enfant ne vous tiens aucunement à coeur. Le pômé- Ce n'est aucunement le cas! Voyez mon altesse, ce que je voulait démontrer ici est le fait même que malgré la somme que votre humble seigneurie ôse m'offrir en tant que tuteur de ce môme je ne puissions guère mettre fin à ces vagues de faim qui succède sans-cesse dans notre demeure. Son altesse- *tout en mordant violamment ans son rôti de sanglier* Bien bien.., vous me semblez d'une augure des plus particulière mais tout de même être un homme de parole par conséquent le poste de boucher du village de Guillaume le grand seras le vôtre. Le pômé- Que votre âme soie bénie mon seigneur, vous ne serez point déçu de cette promotion! Alors Fudit, le pômé, partit à la conquète des contrés inconnues de la Gaule nordique ou le village de Guillaumle le grand se retrouvait accompagné du jeune Jodjio. PS. Ouais, parfois il est plus intéressant de ne suivre aucune logique et de laisser aller son âme, mais peut-être pas à une heure si tardive. :S Forme de joie passive, impression de bien-être de plénitude physique et psychologique. - 9 juil. 05 Comment te dire, ma chère euphorie, tu fais pleurer mon âme. Les moment mémorables ou nous nous entrelassions ne firent point manquants, mais plutôt que l'espoir se fait bohème entre murs de pierre. J'ai perdu bien des choses lors de tous ces périples, mais le plus douloureux fût de ne t'avoir reçu que par intérime rugeuse. Au fond il n'y a rien de plus à perdre de plus qu'une partie de nous-mêmes. Mais lorsque cela ce produit c'est toi mon euphorie qui me tiens entre tes bras. Une seule goûte fait déborder le vase, puisque jamais nous ne serons libres de nos actions. Moustafination.
16 septembre 2005

L'indignation est la rupture psycologique ressentie suite à un manque flagrant d'honneur.

Mon malheur, est que je suis un jardinier avec une fleur à faire pousser. Tous les matins viennent te réveiller, ces pas lourds, qui ne cessent d'être épiés par l'inconcevable suite des évènements.

Par contre, il me faut exprimer mes sentiments lugubres quand à ce qui concerne les rêves inachevés qui s'entremèlent chaque fois que le jour prends âme. Une épidémie d'indignation prends place entre mon être et la réalité, chaque soupir donne vie à un nouveau démon qui sauras me hanter nonchalament sans aucune culpabilité.

Nous allions vers un endroit ou les gens avait tout espéré, ceux qui cherchent le paradis sur terre. Tant de gens qui ne font que parler à voix basse, qui marchent en regardant le sol. Mais le destin ne sauras en faire ainsi, nous nous pèrdièrent dans une jungle de broussailles épineuses pour finalement disparaître.

Merçi à toutes ces mères d'idéologies fugueuses, tremblantes qui nous portent à réfléchir.
Un gros merçi à ces économistes qui eurent la bonté de gâcher le peux d'humanisme qu'il nous restait.
Et, pour finir, merçi à vous mes frères d'avoir plongé dans le noir avec moi.

Le dôme est là ou tous avait rêvé du paradis sur terre.

17 juin 2005

Tyrannie.

Platitude égocentrique à base de soupe pluvieuse, mon être sais reconnaitre le bien du mal malgré les tempêtes passagères. Mais toute la putain qui nous cerne ne laisse mijoter qu'une envie éphémère de perpétuer le sang blanc des disparus. Bordel d'extasy, époque techno, relations funky sans ne jamais oublier le sablier monétaire. Expérience fluide, gluante de percés astronautiques. Moustachu, vêtu, cocu. Solitaire dans la vague des centaines, tout est clair. Humeurs, absencéisme, excuses, écoute floue.
30 octobre 2004

eternity.

Toujours cerné par l'irréalisme de vos personnalités, jamais pris en considération malgré tout le mal qu'on se donne pour percevoir la société comme un ignorant. Alors pour ne plus avoir a faire face a toute cette inhumanité, a tous ceux qui ne surent comprendre que je n'ai jamais osé toucher a ce qui vous garde en vie, j'ai suivi la lumière. Incompris je vois avec dégout tout ce que vous suivez comme croyances. Vos dieux, vos valeurs sans fondements, tous ce que vous avez osé critiquer comme étant la facon idéale de procéder. Daccord je ne suis pas moins insignifiant que mon prochain mais malgré tout je comprends que la masse n'est aucunement une force. non, j'en ai assez. je reviendrai quand tout seras plus beau.

13 juin 2004

Décombres.

Décombres d'un truc bien établi, un plancher de sentiments heureux qui sombre dans une rivière de larmes trop amères pour être heureuses. L'existence redeviens une image inhumaine aux yeux de l'homme qui hais son futur.

Attristé il reprends contact avec son passé obscur, rongé par sa démarche, son style de vie répétitif sans espoir lui redonne envie de partir de ce monde de cinglés.

2 juin 2004

Une patrie défunte.

Allez, donnez nous une nouvelle image d'un pays parfait, un pays ou tout le monde a le sourire. Mais chaque jour dans les rues l'inhumanité est réalité. Le pauvre retrace son passé, se rapelle de meilleurs jours par l'entremise d'une seringue délaissée.

Un pays multiculturel ou celui sans culture gagne à tout coup avec un peux de fric.

1 juin 2004

Noirceur éphémère.

Chaque soir, une transition fugitive s'empare de mes pensés, au crépuscule un malaise passager s'empare de mes mémoires.. Le tout est repoussé pour laisser succéder une passion, tant de tendresse provenant que d'un seul être. Elle me tends la main pour que je sache l'accompagner.. Je fais le niais et suit cette beauté enivrante, sous son charme je laisse une larme de joie tomber..

si seulement la nuit n'était pas si courte, si seulement je n'aurai pas sommeil... JP

26 mai 2004

Récit, avec toi ma belle comme personnage principal...

Un soir je marche à nouveau les rues sombres de mon cartier, sous la pluie et le froid je me rends compte d'un fait étrange. Curieusement je me sentait heureux, à quelque part en moi quelque chose était beau. J'ai réalisé que la musique qui jouait dans mes écouteurs était si puissante qu'elle m'apportait en plain milieu de mon propre film. J'ai pu me voir moi même devant moi marcher, avec ma propre bande musicale. Le temps était humide et nuageux mais je gardait le sourire. À mes cotés, personne me porte compagnie. Ce vieil ami orphelin qui suit chacun de mes mouvements. Malgré l'atmosphère funèbre ce bon vieux camarade restait au bataillon, ni à ma droite, ni nulle part. Je repense à toi une dernière fois mon amour puis je reste immobile, je t'aime tant. Au lever du jour ma première réaction est de pleurer la distance qui nous sépare, puis je pleure le monde. Ca y est l'alarme sonne à nouveau, notre base redeviens un champ de guerre, les fleurs sont écrasés sous le pied lourd de l'ennemi. Mais le potager reste intact. Mon amour resteras toujours aussi fort, nonobstant l'affliction et les déchirements. Une mélodie passagère me redonne envie des ton souffle, une autre seconde passe et tes lèvres me semble si lointaines. ~ Comment vais-je survivre dans ce monde? Peuplé de tyrans buveurs d'atrocités, ces barbares insatiable de vermillon, lui même il ne peux rien faire de plus que de déplorer la torridité de son sort.

"Dans la vie il faut faire trois choses, planer un arbre, écrire un livre, et avoir des enfants." -De mon pote Tony.

JP

24 mai 2004

point. ~2~

Je vis dans cette finale de l'éternité, sans flamme j'avance et me perds. Plus de deux mille ans passèrent mais l'être humain ne sût évoluer. Encore les même idéologies, parfois commercialisés, contrôlent un monde ou il est beau de s'entre-tuer pour son dieu. Chaque personne a son propre dieu de nos jours, c'est tellement pratique. De cette façon il est fastoche de trouver une raison pour laquelle nous nourrissons notre haine contre notre prochain. Inch'Allah, il est beau de tuer pour un bout de terre. Et pendant que ce garçon de six ans marche les rues, mitraillette à la main, nous nous embrassons l'air de rien. Le sang coule à flots, Rachid compte les battements de coeur qui lui reste. Comme son père il se tueras en espérant faire quelconque différence. Il est inhumain de vouloir vivre dans ce monde qui a aussi bon goût que la cuisine d'Angleterre. Ne pensez pas au suicide par contre, car si vous pensez à un repos, une destinée qui pourrait être mieux que son existence, vous serez incarcéré pour délire mental. L'église vous laissera encore ce goût amer de la réalité, et comme cadeau cette magnifique camisole de force sociale, plus un bouquin de merde donc l'histoire fut changée beaucoup trop souvent. Tout d'abord dieu tue, détruis, fait souffrir, puis ensuite il aide le pauvre, ce bon samaritain. ~ Bien que l'empire américain suit principalement la religion catholique, leur slogan dit "god bless america" qui se traduit bien sur par "dieu mutile l'Amérique". Trois mots simples qui, après réflexion, démontre un souhait planétaire. ~

bon 2heures du mat, allez-hop au lit..

23 mai 2004

Je ne suis pas une menace ~ seulement une insulte à l'embarras permanent.

Puisque le monde dans lequel je vis est celui que tu dénigre, que tu hais. Mais je te comprends. La haine qui j'ai développé surpasse tout espoir, tout me semble si laid, mon magnéto de merde, mon voisin qui m'observe constamment, la lune dans cette nuit poussiéreuse, encore ce soir je pleurs mon désespoir, sans regarder derrière, le passé redeviens présent et pour la douzième fois ce soir, je crèves. ~

A l'aurore il rêve de la terre promise, elle est belle mais lointaine, jamais elle ne seras découverte, et pendant cette montée d'espoir monde meurt, disparaît, noirci sous l'empire américain. Je revois mon enfance chaque jour et ne cesse de rêver de ma patrie, belle et exempte de rapace, d'immigrés, encore d'hommes qui rêvent de pouvoir et d'argent...

Seulement quelques lignes que je me suis décidé de mettre en ligne, c'est un peu plus accessible que mon vieux cartable caché sous toute la merde qui m'entoure... JP

17 mai 2004

Point.

Pré-Intro de merde.

Une fois de plus, je meurt.

Chaque jour une lueur apparait, un rêve prends forme. Une mélodie charmante mais vicieuse s'empare de mon être. Le tout arosé d'une putain de baffe de réalité qui me rammène au sol. Ouais, chaque jour j'envie mes idoles, tout ceux qui auront su laisser un message au cours de leur vie. Je pourrait bien dire que tout ceci n'est qu'un ouvrage à qui je suis depuis que je percois la réalité sous ce nouvel angle. Mais je pourrait autant donner ces remerciments à tous les cons qui ont su suivre certaines directives si perfectement qu'ils sont morts d'atroces souffrance causés par une obésité innimaginable. Une fois de plus, une connerie me garde en vie, ce bouquin est l'une des rares raisons de mon existence. Oui toi souffrance, ma belle qui a su me donner espoir, je te remercie. Cet ouvrage n'est point le résultat d'un système d'éducation qui porte à créer des auteurs, mais de celui qui mise sur la violence et la peur que l'on enseigne ici dans notre société. Ce texte est un poème inachevé, sans couleurs ni histoire, parfairement à l'image de ma patrie. Il faut lire et relire, certaines lignes peuvent vous sembler ne transmettre aucun message. Mais comme dans tout bon poème, le résonnement peut être très bien caché ou tout simplement noiri par une certaine ignorance. Un beau jour d'été, le plus beau jour d'été de votre enfance, vous étiez heureux. Vous aviez le sentiment que tout le monde était heureux, mais malgré tout chaque seconde des milliers de coups de fouets était donnés, des millers de sangots et de goutes de sang tombèrent sur le sol. Nous sommes privilégiés de ne pas avoir à vivre de telles situations, mais il ne faudras jamais oublier la réalité pour autant. Ouais il font chier ces putains de pauvres à vous demander pour ne poignée de change. Oui ils font chier ces enmmerdeurs qui vous balancent des slogants tels que "sauvez les orphelins de palestine" mais ces personnes qui font chier contribuent à la société. Lorsque que vous restez accros de votre télé réalité, de cette réalité autant vraie que notre amour pour notre prochain, losrque vous regardez vos médias corrompus, les forces mondialent tuent et poussent le pauvre vers sa perte. ~ C'est le chaos. J'ai envie de mon ile déserte ou je pourrai recréer la société à mon image, un cuba sombre et inutile, sans immigrants, sans mortalité, sans mitrailettes et bien sur sans guerre pour la paix.

le temps des retouches et de la coloration viendras.. toute histoire est jolie, mais toute histoire n'a pas de fin pour autant..

******Ébauche qui fut effacée.******Alors, tout débute une soirée de Dimanche, un môme de plus développe une haine pour le monde qui l'entoure. Fin. Ne cherchez pas à critiquer cet ouvrage pour son contenu, un livre est avant tout que de l'encre sur papier. De l'encre qui dessine une histoire, avec l'aide de mots qui ni mènent nulle part. Le tout est aussi éphémère qu'un jeune bambin vietnamien qui fait des bonds dans son champ de mines pour se rendre à son pommier préféré. Ca y est, la décharge part, un autre de moins. Mais on s'en foutisme ici, y'a pas de minute de silence sans signe de dollar. ~ Allons allons, ce bouquin n'est que le résultat d'un enfant qui ne sait plus quoi penser de l'horreur de ce monde. Le tout est un mélange horrible de haine et de peur. Des récits sans fin et des tentative d'expression. Il faut bien comprendre ce que l'auteur essaie de donner comme message, cet ouvrage est fichtrument mal fait, mais parfait aux yeux de celui qui sauras le comprendre. La façon la plus simple de voir cet ammas de pages est de le percevoir comme un poème sous forme de paragraphes qui fut écris par une personne qui a un besoin d'aide flagrant. Merci, et n'oubliez pas qu'il n'y a aucune main de disponible pour vous ressortir totalement du gouffre une fois que vous tombez. Transfomer toutes ces pages blanches en un récit me donnera probablement comme résultat de finir dans une salle blanche mais douce, accompagné de mon copain Damien qui parle aux soucoupes volantes àl'aide de ces pieds.

17 mai 2004

Comme des fous.

Une autre soirée de merde, ma copine qui pratique l'abstinence sociale, mon coeur qui bat à demi et ma tête qui fait chier. "Demain rien n'iras mieux puisqu'on est jeune et con... que des pions contents d'être à genoux." Alors ouais, jamais je n'ai eu l'intention de prendre ce blog comme journal intime mais la je me foutisme carrément de ce ke kelconke con peut lire sur ce compte.. Chaque jour je rêve d'être plus près d'elle, de son souffle qui a su me redonner envie de vivre. Mais derenièrement tout semble tomber à la dérive.. Sais pas pourquoi. 'Veut pas plus savoir je crois bien.

J'en ai marre de rêver, de vouloir faire quelquechose, mais de ne rien achever. Ici dans ma piaule ki fait chier, tout me donne envie de gerber, je vis du fast food et me meurt de plus en plus chaque jour..

"Le monde pleure, mais garde le sourire.." Dacc, elle m'as redonné signe de vie.. Adieu. Merde que je l'aime, mais putain que sa fait mal.

12 mai 2004

Aidez-nous.. Ouais, pour chaque rêve achevé il y a un nouvel orphelin..

Je me suis pris moi même la main dans le sac à lire les pubs qui polluent mon blog pour finir par avoir pitié de ce monde encore une fois de plus...

Ils ont besoin de nous Aidons les enfants d'Irak. Rejoignez nous dès maintenant

Forum arrêter de fumer Trucs, entraide, moyens pour se débarrasser du tabac.

Parrainez un enfant. Il sera nourri, soigné, scolarisé. 23 programmes de développement

Orphelinat de Pattaya Làs bas pour 0,8 E par jour, j'ai une maison et je vais à l'école

Et après tout ici dans ce coin du monde, la ou personne ne sait même ce que c'est que parrainer un enfant, les gens ont le sourire aux lèvres. Qu'ils sont beaux les ricains, avec leur bouffe prète à être digérée et chiée dans le temps de le dire. Ils s'inkiètent énormément de leur planchers, tellement ka tout les mois il y a un nouveau swiffer amélioré, plus "joli" et plus compact, mais quand ils doivent s'inquiéter d'un être humain qui se meurt il préfèrent aller au méga-super-immense-marché acheter la bouteille de M.Net au tout nouvel arôme d'Irakéen torturé... Fait chier ce monde de cons..

Kelkun veut donner pour ke ce pauvre JP rentre au pays ou il n'a jamais mis le pied mais rêve d'être chaque jour?... Suis pas terroriste, à moins qu'on me demande d'éléminer un ricain.. Sa c'est une tt autre histoire...

Signé, ce bon vieu Jean-Pascal.. Ouais même mon nom fut ridiculisé par cette société de cul.. putain.

5 mai 2004

Un jour de plus loin de mes rêves..

Bien sur je respecte tout les critères d'un homme heureux sous les règles de masse.. Mais intérieurement je suis si borné et accoutumé à cette haine constante de la vie que chaque petite lueur de plaisir et de bien-être cache un coup au coeur, imcompris, innatendu, et surtout muet il me brise en mille morceaux et chaque soir je souri et m'endors.

Il y a forcément une foutue raison pourkoi tt mes sentiments sont si éphémères.. C'est débile comment tout est si fichtrument le bordel dans ma tête.. Je suis à demi amoureux, plutôt complètement mais appauvri mentalement par mon habitude d'être trops naif. Maisl malgré tout je suis toujours accro de mon malheur, de mes sanglots..

Dacc, il faut que j'y alle, j'en ai marre de toute cette merde. J'veux m'en aller...

JP, merdeuh...

30 avril 2004

Puiske dieu pleure la fin du monde.

Puisque le jour a pris fin

Puisque l'espoir qui règne en certains de nous consiste a éléminer notre prochain

Puisque ce monde est devenu un ammas de cauchemards devenus réalités

Puisque même dieu pleure la fin du monde

Malgré tout les efforts que nous avont mits a faconner un monde meilleur

Ce monde meilleur n'est qu'un rêve, chaque petit bonheur mène vers un coeur brisé..

Jamais nos rèves ne devinrent réalité, chaque être qui sait pleurer sait que le bonheur n'est plus de ce monde. Puisque ceux qui on l'argent on su laisser croire que l'argent ne fais aucunement le bonheur. Ce monde est controlé par ces billets tout vert, nous avons perdu. La monarchie et le capitalisme seront nos dieux, et nous, nous sommes muets face a notre futur. Le pouvoir est plus important que l'égalité, la force est plus sincère que le nouveau né, mais le nouveau né est avant tout un futur donneur d'organes. Alors rapidement il faut le bourrer de macdo pour qu'il ne puisse renverser l'économie de son vivant.

Je suis né dans ce monde multiculturel qu'est le Canada, ouais bien sur a l'échelle mondiale nous savont donner une bonne image de notre "patrie" mais dans le fond cette terre est aussi pourrie que celle au sud de la notre. Notre "nation" est avant tout un endroit ou l'on peut regroupper des centaines de millers d'êtres humains avec de bien belles promesses, chaque être qui viens ici rêve d'un futur saint, éloigné de la pauvreté et du malheur. Mais Ce pays est bien plus pauvre d'esprit que n'importe quel autre pays hors amérique. Pensez ce que vous voudrez, lisez ce que les journalistes corompus sauront écrire, mais le Canada n'est qu'expension des États-Unis.

Un autre pays sans culture, ou du moins une culture tellement cachée et batarde que nul ne veut en parler. Un autre pays ou l'argent fait le bonheur et ou il faut prier pour le gouverneur pour recevoir notre part de nos taxes. Les visionnaires ont honte de ce que ce pays est devenu, les anglophones furent les premiers a perdre le controle puisqu'il avait déjà une culture moins existante/développée que les francophones et la même langue que M. DuCon Bush. C'est en réalisant ce qui se passait dans le monde anglophone qui entoure le Québec que celle-ci décida de ce séparer. Mais la corruption fédérale anglophone ne laissa aucune chance à la ma patrie. Malgré tout mon peuple ne laissa pas tomber et le non passa seulement avec 0.4% par dessu le rêve Québecois. Mais depuis ce jour de 1995 bien des choses arrivèrent, le plus grand basculement des dernières années fut bien sur l'arrivée de la télévision réalité, ouais,

En france la fierté francaise est encore forte, ici elle disparait de jour en jour, et des émissions tels que star-académie ou loft story c'est tout ce qu'il faut pour détruire ce qu'il reste d'une culture, -assimiler une population de plus en plus conne socialement à une culture globale multiculturelle américanisée.

Que j'aime ce pays, cette société, ces cons ki m'entourent. Mais putain, c'est si fastoche de perdre ce ki fait ke nous sommes ki ns sommes.. La fierté francophone disparait, et moua je pleure la fin d'un monde ou l'on su un jour rire et sourire sans être associé à une marque d'un produit de merde. "Oh regarde JP komme il fait la figure du con de coca-cola"

JP

Crève ou meurt, il n'y a plus de raison de te débattre, la vie n'en vaut plus la peine..

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